Exposition « 69 année érotique » - 21 novembre - 7 décembre

Une grande exposition sur le pop francophone et sa vision de la libération des moeurs durant les Sixties - au 24 rue Beaubourg à partir du 21 novembre 2019.

Cinquante ans après 1969, la mythique chanson du couple Birkin-Gainsbourg nous offre une occasion opportune de donner le contrepoint aux célébrations de la très politique année 1968, qui nous occupèrent l’année passée. Cette fois, plus d’affiches aux slogans rageurs, mais pêle-mêle : Pin-up fardées, aplats de couleurs acides, sensualité psychédélique, assemblages de plastiques et néons, emprunts à la bande-dessinée ou cadrages cinématographiques ... tous les ingrédients propres à ce nouveau style qui semble fait pour célébrer l’hédonisme, la sensualité.

 

Aussi et bien que de nombreux artistes représentés dans cette exposition se rattachent à ce que l’on appelle la Figuration Narrative, cette exposition n’est pas dédiée à ce mouvement précis. Il s’agit plutôt de saisir en une quarantaine de tableaux principalement peints en France et en Belgique entre 1960 et 1985, ce qui caractérise à nos yeux de jeunes gens modernes l’air d’un âge Pop que nous n’avons pas connu et qui capta parfaitement le zeitgeist d'une époque encline à la libération des moeurs et à la célébration de l'eros.

 

L'EXPOSITION :

 

Dans un vaste de espace de 280 m2, le 24Beaubourg, situé face au Centre Pompidou, seront rassemblées une quarantaine d’œuvres de plus d’une quinzaine d’artistes, qui participent toutes de cette esthétique Pop à la française.

 

Certains artistes comme Monory, Erró, Rancillac, Schlosser ou Klasen ont connu une célébrité jamais démentie, comme figures de proue de la Figuration Narrative. D’autres, plus inclassables, comme Leonardo Cremonini ont connu la gloire de leur vivant avant une éclipse posthume. Certains sont devenus des artistes cultes après leur disparition et leur œuvre est en cours de réévaluation, soit parce qu’ils se sont volontairement tenus en marge des circuits du marché de l’art comme Frédéric Pardo, ou parce qu’ils sont tombés dans l’oubli comme la belge Evelyne Axell, disparue dès 1972.

 

Un catalogue de 122 pages avec des textes de Stéphane Corréard, Tancrède Hertzog et Léopold Legros est publié à l'occasion de l'exposition.

 

>> CONSULTEZ LE CATALOGUE DE L'EXPOSITION EN LIGNE

 

ARTISTES :

 

Evelyne Axell - Christian Babou - Gianni Bertini - Leonardo Cremonini - Henri Cueco - Erró - Alain Jacquet - Peter Klasen - Pol Mara - Ivan Messac - Jacques Monory - Fédéric Pardo - Charles Pascarel - Emanuel Proweller - James Rosenquist - Gérard Schlosser - Hervé Télémaque - Gérard Tisserand (Les Malassis)

 

INFORMATIONS PRATIQUES :

 

Exposition du 21 novembre au 7 décembre 2019

 

24 rue Beaubourg

75003 Paris

 

Horaires : du mardi au samedi, 13h-19h

 

En partenariat avec : 24BeaubourgGérard Schlosser, Charlus, 1972 Gérard Schlosser, Charlus, 1972  

 

CONTACTS :

 

contact@tl-galerie.com

Léopold Legros : leopold@tl-galerie.com

Tancrède Hertzog : tancrede@tl-galerie.com

 

PRESSE :

 

Anne Sophie Philippon et Zahra Muyal : rp@lepetitstudiolo.fr

 

>> Consultez ici le communiqué de presse de l'exposition

 

Revue de presse :

Article de Jean-Denis Errard dans Les Echos

Article de Carole Blumenfeld dans le Art Newspaper Daily

Reportage de Bruno Lopez sur France 3

> Article dans La Gazette Drouot

> Article dans Le Journal des Femmes

Entretien dans Paris derrière

Article dans Artslife (Italie)

 

 

 

 

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Gérard Schlosser, Charlus, 1972
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Evelyne Evelyne Axell, L'égocentrique
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Christian Babou, Lui, 1970
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Monory, Exercice de style n. 3, 1967
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Charles Pascarel, Pour qui sonne le gland
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Christian Babou, Madone a l'escalier
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Pol Mara, Some color would fit me much better
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